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9 octobre 2014 4 09 /10 /octobre /2014 08:10
TULLE -DSCF6379
TULLE -DSCF6379

Bonjour à tous!

Si Marlborough n’est pas revenu, nous avons eu plus de chance que lui!

J’avais oublié dans la liste du départ le kit de survie mais nous avons survécus tout de même !!!

Tout s’est bien passé.

Partis tôt, (Non, ce n’est pas de l’Italien !) le temps était gris et humide. Ce que j’ai trouvé surprenant, ce sont ces poches de brouillard qui se bloquent dans un jardin alors qu’autour il n’y en pas !

La route était grise, humide et lisse comme une longue anguille étalée sur les 50 km. Mais la circulation y est calme et sans problème.

Je n’en dirai pas autant en arrivant à Tulle.

C’est vraiment une très jolie ville, la vieille ville ! Des routes étroites et pavées qui serpentent, des maisons qui s’amusent à se grimper sur le dos les unes les autres au long des flancs escarpés de la montagne et des falaises de terre et de roche.

Ces maisons souvent avec encore des colombages apparents et des balcons, simulés par des colombages ou bien réels et en creux, recouverts au-dessus par l’étage supérieur ou par le toit pour finir, et des guirlandes de barquettes de géraniums fleuris tout au long. Des magasins sous des arcades, des portes et des porches sculptés…

Pour qui a le temps, ce sont des promenades ravissantes qui vous transportent sans danger pour le retour dans une époque passée.

Mais tout cela n’était pas prévu pour la circulation actuelle et les milliers de voitures qui roulent ou qui stationnent !

Ajoutez à cela que c’était jour de marché, étalé tout un long de la rivière et j’y serais bien allée y faire un tour, mais pour ce matin ce n’était pas le moment, nous nous sommes fourvoyés, avons fini par être coincés dans le marché avec des hommes qui nous regardaient, dérangés, comme si nous étions des martiens assez stupides pour arriver là avec notre soucoupe volante !

Nous n’avons même pas tenté de trouver une place sur le parking de l’Hôpital généralement débordé et sommes allés directement dans la rue de la Préfecture (voyez Mésange cette fois je ne me suis pas trompée !) où, miracle, il restait un espace vacant juste pour nous.

Une fois redescendus à l’hôpital ce fut pour nous apercevoir que son parking était ouvert avec des places de libres.(Et sans parcmètre !)

A l’hôpital c’est partout à peu près pareil, passée la porte, d’abord, nous allons faire pipi. L’Esprit n’est pas ce dont on s’occupe le plus en ces endroits de médecine.

Ensuite nous prenons un ticket (066) et allons nous asseoir dans la salle d’attente. Là, des personnes sont déjà installées, faisant attention de ne regarder personne, les yeux baissés sur leurs mains, le sol, le vide. Tel un petit coq je claironne gentiment un : « Bonjour messieurs-dames ! » Quelques-uns surpris répondent parfois, d’autres lèvent la tête avec un petit sourire… ou non.

Aujourd’hui très peu de monde ils en étaient déjà au numéro 063 !!!

Une fois appelés nous allons au guichet noté sur l’écran lumineux.

A Tulle ce sont des box ouverts, des panneaux séparent chaque espace afin de préserver l’intimité de chacun en toute discrétion.

La dame derrière son ordinateur est charmante et demande nos papiers, vérifie nos identités, se bat une fois de plus entre prénom usuel et prénom officiel de Michel qui s’appelle en réalité légale Roger et remplit une feuille pour le secrétariat du service où nous devons aller.

C’est au 8e étage.

Nous empruntons l’ascenseur. Un sourire, une petite remarque pour un contact avec les co-voyageurs de l’espace pour ces quelques secondes et nous nous envoyons en l’air. En toute honnêteté, du calme !

L’ascenseur a coincé une « liftière » dans ses murs pour indiquer les étages, mais ce devait être très étroit car la voix nasille et s’éraille. Nous comprenons tout de même quand nous sommes arrivés au 8e ciel.

Longs couloirs vides et silencieux au sol lisse sur lesquels nous glissons plus que nous marchons.

Docteurs, infirmières et secrétaires sont réunis dans ce petit bureau autour de Magali la secrétaire du service.

-« Nous voilà, vous pouvez servir le thé » dis-je en riant.

Magali nous connait et rit avec nous, entrainant les autres avec elle.

Remise des papiers puis salle d’attente.

J’en profite pour prendre une photo par la fenêtre. A peine ai-je le temps de ranger l’appareil que l’infirmière-tout-sourire, assistante du docteur, vient nous chercher.

Examens de Michel, discussion sur les nouvelles méthodes techniques chaque année améliorées et rassurantes. C’est vertigineux les progrès de la médecine et surtout de la chirurgie.

Et puis, la meilleure parole que peut nous dire un médecin : « bon, rendez-vous dans un an».

Ravis nous retournons au secrétariat pour recevoir notre diplôme de vie « pour un an », nous demandons à Magali où était le super marché le plus proche, Michel n’a plus de petits fromages blancs pour son petit déjeuner.

Enfin nous demandons à cette charmante jeune femme de transmettre tous nos vœux de rétablissement et nos amitiés à notre docteur habituel que nous aimons bien. Au revoir tout le monde, poignées de mains, sourires sincères et, comme si nous avions peur qu’ils nous rappellent et nous disent qu’ils se sont trompés, nous filons à toute allure vers la sortie !

OUF ! De l’air, même humide c’est bon, nous sommes dehors, libres pour un an !

Mais tout en allant rechercher la voiture je dis :

-« On a fait rudement vite aujourd’hui, ne reste-t-il pas assez de temps pour pouvoir aller jusqu’à Meymac ?

-Si, pourquoi ?
-Ce serait plus simple et plus rapide que de chercher le supermarché parmi les sens interdits, les voitures et les piétons, puis de trouver une place de parking
!

-Tu as raison et même mieux, on passe à Egletons, donc le SUPER U ! »

« Voilà une idée qu’elle est bonne ! »

La route lisse, grise, glisse sous nos roues…

Egletons, le super U !

Nous avions faim. Nous n’avions mangé qu’une petite soupe, un bon bol dans lequel la cuillère tenait verticalement dans l’épaisseur du mélange, mais nous n’avions pas eu nos deux tartines aux fromages blancs, pas de café pour Michel, pas de tisane pour moi, et les émotions, ça creuse c’est bien connu, la joie aussi.

Nous allons prendre ce que nous venions chercher,et nous décidons de faire un « rest-at-home » compression linguistique à anglicismes « de restaurant à la maison » inventé pour notre usage personnel et nous choisissons longuement un « ready-made » repas tout prêt, une assiette qui se réchauffe,

-« Non pas en 5 minutes madame, pas en trois minutes monsieur mais en Deux minutes chrono ! » au micro-onde.

Cette fois nous décidons tous les deux pour la même chose (c’est bien la peine d’avoir le choix !) Saumon-riz-épinards.

C’est bien gentil tout ça, mais nous avons toujours faim MAINTENANT ! Pas tout à l’heure ou plus tard !

Et puis l’envie de se faire plaisir, de faire la fête…

Michel mangerait bien un croissant. Mais ils sont vendus par quatre et au beurre ce qui veut dire que je n’en mangerai pas. Ca fait tout de même beaucoup pour un seul homme,…Même Michel !

Et nous trouvons une boîte de « chouquettes » !!!

Depuis quand n’avons-nous pas mangé de « chouquettes » ?

Bon, je ne vous le demande pas à vous, mais nous n’avons trouvé personne pour nous dire, même pas nous, tant c’est loin dans le passé !

Va pour les « chouquettes » !

Nous passons à la caisse (eh oui !) et nous emportons nos trésors serrés sur notre cœur jusqu’à la voiture.

Nous nous sommes assis, J’avais la grosse boîte de 250g de « Chouquettes » sur les genoux, ça fait du volume ces viennoiseries pleines de vent!!!

La pluie s’est mise à tomber à seau ! Nous étions bien, tous les deux, enfermés dans la voiture chaude, complices et gourmands! Un rideau d’eau (J’aime beaucoup ça, permettez que je répète : un ridodo ! Merci ça me fait du bien.) a couvert les vitres en ruisselant et nous a isolés du monde entier.

La boîte ouverte, Michel a plongé dedans avec tant d’appétit que j’ai dû planter mes ongles dans la boîte pour la retenir de peur qu’il l’avale aussi !

Nous en avons beaucoup ri et, soyez rassurés chers amis, j’ai eu ma part, Michel y aurait veillé !

Nous n’avons pas tout mangé, non…Pas vraiment… Mais pas loin… Nous avons fait comme les chats : laissé juste un peu pour préserver notre dignité !

Et voilà !

Bon je préfèrerais être une grande aventurière, « Voir basculer l’horizon sous les pas de mon cheval rouge » et vous raconter des odyssées pittoresques et échevelées, mais je n’ai que mon petit quotidien à partager…Je le fais de bon cœur et j’espère vous avoir transmis un peu de mon sourire et de ma joie de vivre.

« Et par-dessus tout cela, Monsieur, je vous ajoute, Madame, non pas une, non pas deux, mais quatre bises chacun, mes plus grosses, mes plus chaudes et je vous les fais gratis ! »

Bonne journée à tous !

LN

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8 octobre 2014 3 08 /10 /octobre /2014 07:40
tournesol-A-13
tournesol-A-13

Bonjour à tous!!!

Y’a personne, la Madame et le monsieur sont partis !

Pas le temps de bavarder avec vous, Boooou!!!

Mais je ne vais pas vous laisser sans vous saluer, tout de même !

Ca y est les sacs sont prêts, la boussole, les vivres et les jerricans d’essence, les passeports, nous allons à Tulle et comme Malbrouk (Marlbrough-Marlborough comme vous préférez) : « Ne sais qu’en reviendra ! » Mais nous reviendront ! Nous ferons tout pour ça en tous cas!

Aussi je vous envoie toutes mes amitiés et vous souhaite une bonne journée !

A aussi vite que je peux !

LN

Je viens de lire, le blog nous en avertit, que demain jeudi 9, l'administration du blog sera fermée pour maintenance de 9h à 12h. Aussi ne vous inquiétez pas si je ne reviens à vous que l'après midi! xxx!!!

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7 octobre 2014 2 07 /10 /octobre /2014 10:23
rose-07-07-08-168
rose-07-07-08-168

Bonjour chers tous!

Je suis fière de moi…J’ai fait les comptes!!!

Ils sont faits-propres et justes !

Oh la la ! Quelle punition pour moi !!!

Préparer la page, la faire propre, faire attention de mettre dans les bonnes colonnes, ne m’amuse pas particulièrement, je préfèrerais écrire une histoire ou dessiner, mais au moins je peux le faire sans trop de souffrance et je suis au moins contente du résultat. Ceci est dans mes capacités.

Je n’avais pas fait mes comptes depuis mon changement d’ordinateur. J’avais bien entendu sauvegardé mon fichier EXCEL, mais EVIDEMMENT il ne s’est pas installé tout à fait comme avant, Ben voyons !

Il fallait donc rectifier les colonnes, chercher les nouveaux emplacements des icônes … Perte de temps… Mais je peux le faire.

De plus chaque fois que je m’y mets, les assurances, les pensions, les centres officiels ont changé de nom, de sigle ! CXV…C’est quoi ça ? Ah ! Vue la somme ce doit être ce qui était XZY !!!

Moi, mes pages sont préparées en janvier, je dois donc toutes les rectifier au nouvel intitulé…Jusqu’à la prochaine fois !!!

Perte de temps une fois de plus, mais je peux.

Mais compter, faire la balance avec la banque pour vérifier que je n’ai rien oublié, alors là c’est l’HORREUR ! Et si je vous dis horreur c’est parce qu’aucun vocabulaire plus puissant ne me vient à cette heure matutinale !

Et puis, encore un changement, une des pensions s’est décidée à payer au mois plutôt qu’au trimestre. OK.

Alors voici comment mon cerveau ne peut fonctionner :

La page de banque que je reçois est marquée… AOUT disons. Mais ce sont les comptes de JUILLET ! Donc chaque fois je dois me dire, que Aout c’est juillet. Sans mémoire d’une page à l’autre vous devinez l’effort que cela me demande !

Et quand la pension venue au mois se place en bas de la feuille d’AOUT pour le mois de JUILLET mais est effective pour le mois d’AOUT alors que vous êtes bien centré sur juillet-juillet-luillet….

Eh bien vous arrivez au total et cela ne colle pas.

J’avais tous les chiffres parfaits sur la feuille, les totaux croisés et vérifiés par cette merveilleuse invention des opérations automatiques via le signe grec (sigma sauf erreur)…Mais la balance n’était pas juste !!!

En principe, à force de tortiller, soustraire et additionner dans tous les sens, il y a un moment où ça colle, Mais pas là…

Avant de m’apercevoir que j’avais oublié ce mois de pension, j’ai souffert tellement que je commençais à ouvrir la fenêtre pour plonger du premier étage, et…

L’illumination du désespoir, l’ange gardien parlé précédemment dans un blog, ou la protection de mon ami comptable qui m’a mise à la comptabilité de l’entreprise avec tant de gentillesse et générosité, bref la lumière ! La pension !!!!

J’étais tellement contente et soulagée que j’ai hurlé dans mon bureau: "Je l’ai ! »

Je déboule l’escalier pour défouler mes tensions :

-« Oh la la chéri, je ne trouvais pas mon erreur et ça y…

-« Pousse toi chérie, tu ne vois pas que tu me caches la télévision ? »

Je suis restée bouche ouverte quelques secondes, et je suis remontée finir mes comptes mais je ne me sentais pas très soutenue dans mes exploits !

N’allez pas en conclure « Oh le vilain mari ! » Ce n’était qu’un réflexe, il était dans son film en plein suspense ! J’arrivais comme un cheveu sur la soupe ! Et si il tient à ce que je fasse les comptes, lui qui SAIT compter et n’aurait eu aucun mal à trouver l’erreur, n’a aucune, mais aucune envie de s’y mettre, voire de s’y intéresser autrement qu’au résultat ! L’est pas bête mon mec !!!!

Voilà, c’est fait…Mais quand je pense que tout à l’heure il va y avoir la page de septembre dans la boîte à lettre…Pourquoi ai-je comme une sorte de crampe intestinale ? ahahahh

Mais je sais que vous, vous vous réjouirez pour moi de m’être débarrassée de ce retard. J’AVANCE !!!

D’autant plus que demain ce sont encore des examens de contrôle, à l’aube et à Tulle pour Michel, encore une journée qui ne me laissera guère de temps.

C’est la vie ! Et la vie pourrait être tellement pire !

Alors faut rire de ces petits tracas et avancer gaillardement !

Notre grande petite fille est majeure aujourd’hui. Je ne sais pourquoi cela me bouleverse tant alors que je travaillais à cet âge et me suis mariée à 19 ans bien que la majorité d’alors était à 21 ans ! Parce que ce sont mes derniers bébés peut-être….

Elle s’habitue à la FAC, ce ne doit pas être si facile ! Mais c’est une fille de qualité, et saura faire face…

Je ne comprends pas le blog, il m’envoie des fois l’avis d’un nouvel abonné alors que je connais des abonnés qui ne m’ont jamais été signalés et le nombre sur le compteur en général ne bouge pas ! Bizarre.

Mais là j’ai reçu l’avis de la venue de Kamilia parmi nous, donc Kamilia, je vous salue et suis contente que vous vous joigniez à nous ! J’espère que nous ferons tous une longue traversée ensemble et je vous envoie, chers amis, fidèles et nouveaux, toutes mes amitiés et mes voeux pour une bonne journée !!!

LN

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6 octobre 2014 1 06 /10 /octobre /2014 08:33
frise-07-01-18-012
frise-07-01-18-012

A bord “des amis réunis”, bonjour à tous!

En effet habituellement c’est au bar, mais selon le mot que je viens d’apprendre par ma sœur, étant abstème par choix, ce n’est pas là que je vous inviterai, mais à bord de mon bateau de papier aux minis aventures !

J’espère que ce dimanche pluvieux ne vous a pas endormis, il n’est point temps de commencer votre hibernation, il y aura encore quelques beaux jours à vivre !

Une question encore :

Est-ce que les crapauds muent ?

Bien qu’il y ait des crapauds buffles, je n’ai pas dit « meuglent » !

Je ne crois pas que les batraciens changent de peau.

Mais hier soir, celui qui s’était encoigné dans l’ huis de la porte était si clair presque blanc à petits points noirs que je me suis posée la question, il avait l’air « tout neuf ».

Les grillons perdant leur exuvie sont ainsi, tout blanc et fragiles.

J’ai lu, et non pas dans Ca M’Intéresse pour une fois (je ne lis pas QUE cela !) que pour que les œufs durs ne collent pas à la coquille il faut les cuire avec une cuillerée de bicarbonate de soude. Je ne vais pas essayer, Michel n’aime pas les œufs durs. Mais si vous le faites, dites-moi si ça marche ! Les rares fois où j’en ai fait cuire j’ai perdu la moitié du blanc et présenté des œufs tout rongés, même en les mettant tout de suite dans l’eau froide avant de les écaler comme on me l’avait conseillé !

Ah le bruit de l’œuf dur que l’on casse sur le comptoir… Cela n’existe plus !

Il faut dire que je ne fréquente plus les cafés, ni certains quartiers populaires où l’on trouvait aussi les distributeurs de cacahuètes qui m’ont fourni, pour mes repas, les protéines nécessaires pendant mes Beaux Arts !

J’ai vu un film tiré d’une histoire vraie qui vient s’ajouter à des mésaventures connues survenues aux filles de connaissances. Cela réveille mes peurs…

Le voyage de fins d’études !

Les jeunes partent à l’étranger, entre eux, et sont soudainement « lâchés » dans la nature. Les plus sages ayant le moins de méfiance bien entendu. Et il arrive sinon souvent, trop souvent en tous cas que l’une des filles devienne la proie d’hommes mauvais, aidés par l’alcool et la drogue du viol qui est cachée dans une boisson quelconque.

Sans même parler de trafic sexuel, ou de filles violées et enceintes, rien que l’alcool peut provoquer de graves problèmes, accidents, ou crise d’épilepsie par exemple surtout allié à la drogue.

Il est terrible de voir une jeune fille qui vient de brillamment recevoir son diplôme, qui est appelée à une vie plus ou moins intéressante et pleine d’espoir, tout perdre parce qu’elle n’a pas su dire NON.

Parents, pensez-y !

S’amuser, rire, danser tout ce que vous voudrez, mais ne pas boire d’alcool ou de soda débouché, ne pas monter dans les voitures de rencontres, garder raison et contrôle…. Sauver sa vie….

Me voilà bien sérieuse, en effet. Mais ne croyez pas que sous mes dehors écervelés il n’y pas quelqu’un qui a connu des choses dramatiques. C’est justement pour y survivre que je veux faire rire, rire oui, mais non pas oublier d’être prudent.

Hier soir j’ai fini je dormais debout ! Peut-être un reste de fatigue des deux jours de bois, encore que je ne pense pas. Mais la grisaille peut-être et, surtout, le fait que Michel ait rallumé du feu ! La chaleur à laquelle nous ne sommes plus habitués m’a assommée !!!

Il me restait tout de même un moyen pour me réveiller, aller fermer le poulailler et la serre et préparer à diner ! Michel veillerait à ce que je sois présente et lucide pour cette dernière tâche !!! Après ça allait !

Et voilà une semaine qui commence. Je ne sais ce que je dois faire en premier de tout ce qui m’attend !!!

Allez, ne forcez pas trop, gardez-vous du temps pour vivre, et je vais faire de même !

Je vous souhaite une bonne journée et je vous envoie de chaudes amitiés !

LN.

Illustration : découpage très simple : un papier ou tissu imprimé, découper des formes, et entourer d’un trait de stylo indélébile fin.

Pour cela préparer le dessin sur un papier calque afin de découper les pièces avant de les coller et faire le trait ensuite.

Ensuite rien de plus simple que de le scanner pour l’imprimer en haut ou en bas de votre courrier !

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5 octobre 2014 7 05 /10 /octobre /2014 08:37
triton marbre-DSCF6366
triton marbre-DSCF6366

Bonjour à tous et toutes!

Le temps se brouille ! Il faut bien qu’il se repose un peu le soleil !

Nous sommes retournés « faire du bois » hier. Nous avons vu le Monsieur, il ira bien. Mais tout le monde a eu très peur !

En allant là-bas, j’ai vu les sumacs en feu ! Non, pas vraiment, mais tellement flamboyants ! J’en avais rapporté un de Seine et Marne, il n’a pas pris et c’est tant mieux car j’ai vu depuis que quand cela se plait cela risque de devenir...Une plaie ! Cela se ressème partout très vite ! Mais qu’est-ce que c’est vif comme couleur ! Comme la vigne vierge !

Savez-vous que la vigne vierge n’est pas vierge ? A qui se fier vraiment ! ;-) Elle a des graines. Elle s’appelle ainsi parce qu’à l’origine elle est vigne de Virginie !

Et nous avons fabriqué un « ciel de gloire ». Oui, nous-même ! Je ne le dis qu’à vous, ne le répétez pas, il n’y a pas de quoi s’en vanter !

Mais quand nous avons démarré, le soleil était encore très en biais, à travers les feuilles, et la fumée du J9 à fait se révéler les rayons, bandes en éventail de la lumière, c’était très beau !!! Je n’ai pas eu le temps de prendre mon appareil, il fallait partir… Dommage !

Ah ! Avant que je n’oublie, vous avez le bonjour de Mizaru, Kikazaru et Iwazaru !

Mais si vous les connaissez !!! Peut-être pas par leur nom, moi je ne savais pas en tous cas.

Mais si je vous dis qu’ils sont respectivement aveugle, sourd et muet… Ca y est, vous avez deviné, ce sont les trois singes chinois !

La véritable signification c’est : « Ne pas voir le mal, ne pas entendre le mal, ne pas dire le mal » venu d’une parabole de Confucius au Ve siècle avant J.C. (Non, pas Jacques Chirac !)

Mais si le discours est chinois, l’utilisation des singes est plus récente (XVIe S.) et japonaise, une idée du sculpteur Nikko. Et les singes sont des macaques.

Ma science est neuve et sortie de Ca M’intéresse, eh oui, encore !

Restons dans le monde animal si vous le voulez bien :

Nous avons retrouvé l’ânesse le matin, pour ma joie.

Après le gros câlin, je me suis mise à charger le J9, mais l’ânesse n’était pas trop d’accord, pensant que s’occuper d’elle serait plus intelligent. Michel a même dû abandonner un temps de charger l’arrière et venir près de moi car il ne pouvait plus bouger avec l’ânesse sous les bras !

Parfois elle s’amusait à vouloir sortir les bûches que nous venions de ranger dans le camion ! Elle les tirait avec ses dents !

Et quand Michel devait bouger le J9, comme la veille, j’appelais mon âne à l’écart ! Mais comme tout âne qui se respecte, elle observait un temps mort avant d’obéir !

Hier, chaque fois, elle obéissait immédiatement. Comme je faisais un geste avec mes mains en reculant devant elle, j’ai pensé que j’avais trouvé celui auquel elle était habituée !

Mais quand nous sommes allés dire au revoir au propriétaire, celui-ci m’a demandé :

-« Cela a été avec l’ânesse ?

-Oh oui, bien sûr !

-Elle ne vous a pas pincés ?

-Ah si ! Elle n’a pas arrêté de me mordre, le dos, les bras, la main ! Mais elle ne faisait pas mal, cela surprend c’est tout !

-Je m’en suis douté. Ce matin, avec tout ça, je n’ai pas pu lui donner ses épis de maïs et ses feuilles de choux, et elle vous les réclamait ! »

Et moi qui croyais que j’avais réussi à communiquer avec un âne ! C’est elle qui parlait et moi qui ne comprenais rien ! ahahah Pas étonnant qu’elle répondait si bien quand je l’appelais !

Le bois était lourd, c’était du chêne et le J9 a fait une grande partie du chemin en seconde !!! Non, pas seconde classe ! Seconde vitesse ;-)

Et j’ai un nouveau triton à vous montrer ! Un petit mais qui peut devenir très gros « si Dieu lui prête vie » ! Un triton marbré, vert foncé, avec une ligne rouge qui indique si il est mâle ou femelle, mais je ne me rappelle plus. Comme je n’ai aucunement l’intention d’avoir des relations très privées avec lui, je n’ai pas cherché à vérifier de quel sexe il est!

Là-dessus, chers amis, je vous laisse profiter de votre dimanche, même gris, qu’il vous soit agréable !

Avec toute mes amitiés enthousiastes !

LN

PS. : Si l’un de vous est chiromancien, avec les nombreuses présentations d’animaux sur les paumes de Michel, vous allez connaître son avenir !

Ne nous le dites surtout pas!

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4 octobre 2014 6 04 /10 /octobre /2014 08:31
chenilles de noisetier-DSCF6353
chenilles de noisetier-DSCF6353

Bonjour chers tous!

Nous sommes allés, par ce beau soleil, chercher un chargement de bois.

Et là, il y avait l’adorable Anesse !

Quel plaisir de la revoir, nous nous sommes fait d’énormes câlins, elle posait sa grosse tête sur mon épaule ou contre ma poitrine, si j’arrêtais de la caresser elle me poussait de l’épaule pour me rappeler à l’ordre, elle me mangeait un peu les doigts !

Si je vivais continuellement là-bas, je pense que je la trouverais sérieusement collante ! Mais n’y allant que quelques instants et rarement, j’étais fondue !

En plus je remarque que, contrairement aux chevaux, elle ne sent pas fort.

Il est vrai qu’elle vit dehors et est régulièrement soignée par ses propriétaires, mais néanmoins je connais un cheval qui vit dehors, mais quand on revient de le caresser, on est bon pour la douche et nous ne pouvons cacher à personne d’où nous revenons !

Le monsieur m’a fait remarquer sur le côté de son cou une sorte de virgule de poils qu’il appelle escargot. Et il m’a expliqué que cette ânesse avait ce détail de chaque côté et que c’est une marque de qualité. Je ne savais pas. Et à vrai dire, si je suis contente d’avoir appris quelque chose, la « qualité » m’importe peu, c’est la gentillesse de l’animal qui me touche !

Nous étions très ennuyés car en voulant m’aider le Monsieur s’est blessé, à l’œil, sur un fil de fer. (Vous me direz qu’il ne manquerait plus qu’il ait dû payer pour ça en plus, le pauvre !) Le monsieur est tellement gentil nous avons été angoissés toute la journée. Mais le soir enfin, nous avons pu avoir des nouvelles, ce ne sera pas grave !OUF. A que c’est vite arrivé un accident !!!!

Les papillons sont déconcertés.

Nous avons pas mal de papillons bruns, roux et noirs, des « petites tortues » bien jolis, qui se cachent je ne sais où ni comment, dans des coins de la maison pour y passer l’hiver. Ce ne sont pas des œufs qui éclosent, nous ne voyons jamais de chenilles ! Au printemps, quand le temps commence à se réchauffer et par une belle journée ensoleillée, les « petites tortues » de feu sortent de leur cachette et se précipitent pour aller dehors.

Le soleil revenu ces jours –ci- il ne faisait tout de même pas bien chaud dans la maison et Michel a rallumé la cuisinière 24h pour sécher un peu la maison, ma penderie sent le renfermé, je n’ai pas eu le loisir d’aller aérer mon linge comme je le fais chaque été quand le temps est bien sec.

Du coup, chaleur et soleil ont inspiré les papillons clandestins, et j’en ai délivré 4 ou 5 qui froufroutaient dans les rideaux en cherchant à s’envoler vers le ciel et ne comprenant pas ce que faisait ce carreau en travers de leur chemin !

J’essaie de ne pas perdre le fil de l’ histoire que je tente d’écrire alors que j’ai si peu de temps pour la continuer, ce n’est pas mon fort de faire en plusieurs morceaux. Mais je vais essayer d’en faire un petit feuilleton pour que vous n’ayez pas trop à lire à chaque fois sur la page !

L’image du jour ce sont des dentelières ! En passant près du noisetiers alors que je remplissais mon seau d’eau pour les poules, j’ai cru voir des chatons déjà formés, mais la disposition m’a surprise, pensant à une sorte de gale ou de malformation. Non, ce sont des chenilles vivantes. Elles restent ainsi suspendues par « les dents » et sans bouger, leur corps tendu ne retombe pas ! J’ai essayé d’en décrocher une, mais… ça tient bon !!!!

Je vous souhaite une excellente journée, samedi repos, peut-être jour en famille, que cela vous soit tendre et agréable !

Nous on retourne au bois ! Youpee !

Avec toutes mes amitiés enthousiastes

LN

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3 octobre 2014 5 03 /10 /octobre /2014 08:19
Encre-rivière-4-154
Encre-rivière-4-154

Chers amis,

J’ai commencé pour vous une nouvelle petite histoire. Je ne me souviens plus mais je ne suis pas certaine de n’avoir pas déjà écrit sur ce thème. J’espère que cela ne se ressemblera pas, mais…J’ai complètement oublié….

Les dessins, on voit d’un coup d’œil si on cherche quelque chose. Mais comment vais-je retrouver une histoire que je ne sais quand je l’ai écrite et même si je l’ai écrite ou pensée ???? Y en a trop ! De plus je ne l’ai peut-être même pas gardée ! Si elle existe !

Seulement celle-ci est un peu longue et sera certainement en plusieurs parties…On verra ça….

Aujourd’hui je ne vais pas avoir le temps, nous allons chercher du bois…

Juste une information que je trouve sympathique :

Aux Etats Unis en Oregon il y a une maison de retraite, Villa Rose c’est son nom, vous pourrez la voir sur Internet. C’est pour des gens qui ont assez de moyens au départ car :

Les résidents achètent la maison. Les héritiers reprendront la maison mais laisseront un petit pourcentage à la Villa Rose pour compenser le peu de charges par rapport aux avantages. Ensuite donc ils paient des charges. Mais ils ont pratiquement tout ce que vous pouvez imaginer à disposition, en confort, assistance mais aussi en « entertainments » c’est-à-dire en occupations et centres d’intérêts multiples ! Les charges payées ils n’ont plus rien à dépenser, tous les services sont à disposition. Ils peuvent avoir leur animal de compagnie et il y a même un enclos où ces animaux peuvent se retrouver en liberté et où les propriétaires peuvent bavarder entre eux.

Et il y a un espace où les vaillants peuvent jardiner s’ils en ont envie.

Evidemment ils mangent leurs légumes. Mais vous savez comment c’est, quand ça démarre on en a souvent trop au même moment !

Alors tous les mardi matin il y a un petit marché où les résidents apportent leur trop plein de légumes, mais aussi parfois des plats préparés ,ils aiment bien découvrir les cuisines autres que leurs recettes personnelles, des gâteaux, et ces produits sont vendus au profit de la caisse de la maison de retraite pour aider les gens qui parfois, finissent avec des difficultés pour assumer leur part des charges.

Les produits n’ont pas de prix, chacun achète le prix qu’il veut ou peut donner.

S’il reste des légumes après le marché ceux-ci sont acheminés vers les cuisines de la Villa Rose. Les plats préparés qu’il serait difficile de recycler ainsi sont portés à un endroit où viennent des nécessiteux, genre « restos du cœur ».

Je trouve l’idée bien jolie !!!!

Il y a des choses belles qui méritent d’être signalées.

Ce sera tout pour aujourd’hui, le devoir m’appelle et quelle g…. il a ! ahahah. Je ne parle nullement de Michel ! Je parle du DEVOIR ! Michel est plus attentionné ! ;-)

Aussi je vous envoie mille baisers et plus et à demain chers amis !

LN

Le dessin est une encre d'il y a déjà quelques années....

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2 octobre 2014 4 02 /10 /octobre /2014 08:52
Collonges-La-Rouge-00-31.A
Collonges-La-Rouge-00-31.A

Bonjour, bonjour!!!

Hier fut une chouette journée!

Nous sommes allés à Ussel « faire piquer Michel » comme dit Gi qui me fait chaque fois peur qu’elle ne veuille se débarrasser de son mari !

Pour mon homme, juste une prise de sang.

Pendant qu’il nourrissait le vampire de service du laboratoire, j’en profitais pour me documenter sur l’époque actuelle. En effet je ne lis jamais plus de revues féminines, cela ne me manque pas particulièrement, mais du coup je suis loin de savoir comment les choses ont évolué chez « les filles » ! Donc il y avait « Vogue » que j’attrape prestement histoire de me documenter. Très vite j’ai retourné le magazine pour voir la couverture me demandant si je n’étais pas tombée sur « Play Boy » !

Bon, d’accord, ce n’est pas une mode prévue pour aller faire son marché, mais tout de même !

L’une des tenues était faite de rideaux de voiles tortillés en torches et noués un peu partout.

L’autre tout le côté droit était dénudé, juste coupé par quelques bandes histoire de tenir le tissu en place.

La troisième était au crochet faite de mailles très larges laissant des trous carrés de quelques 4 ou 5 cm de côté et la demoiselle, enfin… la personne !… bien que vu tout ce qui était découvert j’aurais presque pu savoir si elle l’était encore …demoiselle…. Car elle était entièrement nue dans le filet. Un beau poisson ma foi !

Ajoutez plusieurs modèles de robes dont le haut était transparent d’une matière ou d’une autre et laissaient voir les seins nus.

J’espère que les personnes, si il y en a qui osent porter cela, ne vont pas aller se plaindre si elles se retrouvent avec un « harcèlement sexuel » tellement sensible en ce moment !

Si celles-ci m’amusent, par contre il en était une qui m’a choquée par son attitude tant c’était… provoquant… Passons…

Du coup j’ai fait rire les dames du labo et c’était bien sympathique.

Ensuite nous sommes allés au Leclerc où nous avons acheté des fromages (ils sont très bons au Leclerc) et regardé les chaussures et les pulls mais rien ne nous plaisait.

Et puis nous avons fait tous les « top fouilles », « frakass », « défi mode », « halles aux chaussures » d’Ussel et sur la route du retour. Tranquilles, décontractés, il faisait doux, même que Michel a regretté d’avoir mis son pull-over.

Pas de chaussures, pas de tricots, mais des folies !!!

Un grand verre pour Michel qui mesure ce qu’il doit boire chaque jour. Il a cassé sa chope à moutarde et mes verres n’étaient pas à la taille de ses besoins.

Deux petites cocottes pyrex pour plats individuels, un peu plus grandes que ce que j’aurais souhaité mais, Ô miracle, elles rentrent ensemble dans mon four tout de même. J’ai eu chaud. Maintenant ce sera leur tour ! Bien fait !

Un vaporisateur plastique pour plantes ou nids à grillons, des cartouches d’encre, bleues hélas, je préfère noires mais y avait pas !

Des éponges en plastique pour gratter les fonds de plats ! J’en cherchais depuis je ne sais combien de temps sans en trouver !!!

Une pince à sucre vraiment très, très bas de gamme mais parfaite pour sortir la viande ou les saucisses de ma poêle sans risquer de piquer. Je me servais jusqu’ici de l’anneau d’un bocal à conserve que j’avais cassé. Remarquez que cela fonctionnait très bien. Mais cela peut surprendre mes invités !

Ouai ! C’était une folle journée ! ahahah !!!

Maintenant je vais vous parler de la coccinelle, dont Laurent m’a envoyé la légende :

« Les coccinelles sont appelées communément « Bêtes à Bon Dieu » Ce surnom est tiré d’une légende datant du Xe siècle. Condamné à mort pour un meurtre qu’il n’avait pas commis à Paris, un homme qui jurait de son innocence, a dû son salut à la présence de ce petit insecte. En effet, le jour de son exécution publique, le condamné devait avoir la tête tranchée. Mais une coccinelle se posa sur son cou. Le bourreau tenta de l’enlever, mais le coléoptère revint à plusieurs reprises se placer au même endroit. Le Roi Robert II (972-1031) y vit alors une intervention divine et décida de gracier l’homme. Quelques jours plus tard le vrai meurtrier fut retrouvé. Cette histoire s’est très vite répandue et la coccinelle fut dès lors considérée comme un porte-bonheur qu’il ne fallait pas écraser. »

Je comprends mieux maintenant que je connais cette histoire car je trouvais très injuste, jusqu’ici, l’amour pour les coccinelles alors que sévit la crainte qui mène les humains jusqu’au crime à l’encontre des autres insectes tout à fait inoffensifs.

Et je vous mets un dessin de Collonges-La-Rouge, un village au Sud de chez nous. C’est magnifique, non seulement pour cette couleur rouge qui surprend mais aussi pour l’architecture des maisons qui épouse les reliefs d’un terrain mouvementé. Cet endroit est devenu un musée commercial, plein d’échoppes d’artisans d’Arts divers, on regrette un peu la vie naturelle des anciens habitants des lieux… Mais cela vaut vraiment la peine de faire un détour pour visiter Collonges-la Rouge ainsi que quelques petites villes et villages environnants.

Normalement aujourd’hui sera plus calme pour moi, je vais essayer de ne pas faire d’étourderies et de m’avancer dans mon travail !!!

Et je vous souhaite une belle et bonne journée, chers tous !

Je vous envoie mes joyeuses amitiés du « geste auguste du semeur » !!!

LN

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1 octobre 2014 3 01 /10 /octobre /2014 08:44
nenuphar-05-0022-1
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Bonjour tout le monde!!!!

1er octobre…Mes souvenirs de rentrées en Classes les pieds trainants dans les feuilles mortes, cape sur le dos !...C’était avant hier …

Mais hier….

J’ai gagné! Ah mais!

Impossible de faire mon pain.

Déjà l’autre jour j’avais eu des problèmes, sans trop savoir pourquoi. Mais cela avait fini par s’arranger tout de même.

Là, impossible de faire monter mon pain. Bien sûr j’aurais pu faire des galettes plates comme dans certains pays mais je voudrais garder mon mari !!! Je ne pense pas qu’il apprécierait cette nouvelle recette, il aime le pain.

Comme il faisait froid, j’ai mis le pain dans une boîte et la boîte le derrière dans l’eau chaude comme je fais souvent mais non seulement rien, mais la pâte tournait liquide et collante !

En désespoir de cause j’ai tout recommencé avec une nouvelle levure et ajouté mes pâtons tristes au fur et à mesure. C’était dégoûtant cette mixture molle et collante à patouiller !

Enfin, le pain a pris vie, gonflé et il est cuit ! Vous sentiez comme cela sentait bon ?! Le pain oui, mais la victoire aussi !

Je n’ai pas fait attention, j’ai dû tomber sur une boîte de levure déshydratée périmée. Comme j’ai retiré les sachets sans regarder et jeté la boîte, je ne puis vérifier. J’ai mis à la poubelle les sachets restants et la prochaine fois, je vais prendre une boîte neuve et vérifier la date !! !

J’ai perdu beaucoup de temps avec ça. Et comme je voulais faire un montage avec un joli petit chien de chasse, j’ai oublié (humhum) de faire les comptes… et bien d’autres choses !

Que celui qui n’a jamais procrastiné me jette la première pierre ! J’attends ? Non, rien ? Bon, je m’en doutais un peu ahahah !!!

Et nous allons téléphoner tout à l’heure pour savoir si le laboratoire est ouvert ou non. La météo dit qu’il va faire beau !

Je suis très contente d’avoir trouvé ce site de la météo sur Ambrugeat ! Bien pratique.

Au fait, on n’a pas eu d’orage ! Bon, tant que le bulletin se trompe dans ce sens cela ira très bien pour moi !!!

Le dessin joint est à demi fait « main » c’est-à-dire aquarelle et découpage classique puis repris à l’ordinateur. C’est un travail fait au tout début, j’avais conçu une succession de nénuphars pour que cela donne l’impression de s’ouvrir en passant de l’une à l’autre comme avec un GIF ou un PPS que je ne connaissais pas à l’époque…Et que je n’ai plus maintenant !!! GRRR (Si j’ai la possibilité de faire des PPS).

Voilà encore un pauvre billet, mais j’espère bien me mettre à jour bientôt, encore un peu de patience, chers amis !

En attendant je pense bien à vous et je vous souhaite de pouvoir faire tout ce que vous aviez prévu pour votre journée, sans bousculade, et ce soir la satisfaction d’avoir bien fait !

Je vous envoie des flots d’amitiés, mais vous ne risquez pas le Tsunami car c’est comme une buée légère et tendre qui vous enveloppera sans vous bousculer !

LN

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30 septembre 2014 2 30 /09 /septembre /2014 08:31
TRITON-DSCF6293
TRITON-DSCF6293

Bonjour chers amis!

Eh oui, nous sommes mardi. Et fin de septembre! DEJA!
Mais une visite imprévue hier a mangé tout mon après-midi et je n’ai rien de prê
t.

Ma levure, de plus ne voulait pas monter, le pain n’est pas fait, le blog pas préparé, ne parlons pas du reste !

Ce matin nous devions aller à Ussel pour les analyses de Michel. Sinon cet après-midi, cela dépendra de l’heure. Cela va être très court également aujourd’hui. Il a quelques courses à faire en plus. Nous irons certainement faire des folies de nos porte-monnaie dans des dépenses extravagantes comme… des boîtes de nourriture à chat moins chères que chez nous ! « What did you expect ? » diraient les personnages de la pub café.

Peut-être des chaussures pour Michel…à voir… Ses godillots sont bien usés.

Je vais couper l’installation ordinateur et autres, la météo a annoncé de l’orage dans la journée.

Quelle absurdité ce truc ! Il faut faire des économies d’électricité et il faut tout laisser branché en permanence avec des lumière comme pour une piste d’aéroport !

Qu’est-ce qu’ils doivent s’amuser les moustiques et les araignées quand on a le dos tourné avec toutes ces lumières !!!! C’est le bal à Neuneu ! Il ne leur manque que la boule qui étincelle, faut que je voie ce que je pourrais faire pour eux ! ahahah

Aussi je prépare ce petit mot que j’espère pouvoir glisser sur les ondes avant de partir, si la connexion le veut bien, afin de ne pas vous laisser sans cette image d’une part :

Un bébé triton lové dans le creuset des grosses pognes de Michel ! N’est-il pas adorable ? Croyez –vous qu’il deviendra Dragon ??? Pas Michel ! Le triton !

Ni sans une grosse poignée de bises affectueuses d’autre part !!!

A bientôt chers tous, prenez bien soin de vous et bonne journée à tous !

LN

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