Bonjour les amis!
Pourquoi ?
Comment de reconnus gentils garçons en arrivent à des actes pareils ? Ils sont coupables certes. Mais sont-ils les seuls ? N’y a-t-il pas des responsabilités qui nous incombent à nous aussi ? Il y a encore bien des questions à résoudre...
Mais le calme est revenu, une pensée pour les innocentes victimes.
Il faut vivre et le faire sans haine, sans parti pris et chercher comment protéger les uns et les autres contre de telles dérives!
Alors « hauts les cœurs » !
Temps sinistre à ne pas mettre une Mésange dehors!
Pourtant Mésange et les mésanges sont sorties car il faut bien manger, et nous sommes allés chercher la déneigeuse qui est ENFIN arrivée.
Nous y avons rencontré des gens charmants. Les Corréziens sont tous très aimables, il faut le reconnaître. Là, un grand garçon qui nous explique qu’il ne fait pas le métier qu’il aime, pas plus que son amie, mais que si on veut trouver du travail on peut et il suffit de s’y intéresser pour l’aimer. Ce fut un moment agréable et rafraichissant dans cette atmosphère pourrie par les nouvelles.
Regardant défiler la route j’ai trouvé qu’elle ressemblait aux jambières de Jeans quand je dois les ouvrir pour y mettre des pièces, même gris bleu avec de belles surpiqûres blanches tout au long des coutures ! Celles des Jeans sont orange.
Et puis nous avons inventé une phrase amusante…Enfin nous cela nous amusait de l’inventer en tous cas !
Un martin-pêcheur sans péchés qui pêchait des perches se dépêchait de se « dépercher » du pêcher qui penchait.
Bon, cela ne vous fait pas sourire ? Alors je vais vous mettre la suite de Vilaine !!!
NE EN FRAUDE….– 6-
Pensiez-vous que l’histoire allait s’arrêter en si bon chemin ? Que nenni !
Arrivés au quartier « La Tour », Cyprien alla derrière les cuisines. Il connaissait pas mal de personnes qui travaillaient là et comme il était un gentil garçon, pratiquement tous l’avaient plus ou moins en sympathie, tout en restant prudents vis-à-vis de leurs patrons respectifs.
-« Tiens, Cyprien ! Tu tombes bien ! Tu veux me porter ça jusqu’aux poubelles et reviens je te donnerai quelque chose !
-Bien sûr ! »
Cyprien posa le chat par terre en lui disant :
-« Ne bouge pas, attends-moi ! »
Il empoigna les cageots et les porta près des énormes boîtes à ordure. Le chat le regardait sans bouger. Cyprien revient alors que le garçon au tablier blanc sortait à nouveau des cuisines avec un gros bol de ragout bien chaud.
-« Merci François !!! »
Cyprien alla s’asseoir plus loin derrière un petit mur pour ne pas attirer l’attention du chef de cuisine tout en faisant signe au chat de le suivre.
Le jeune homme dévora sa nourriture bien chaude, mais il n’oublia pas de partager et donna au chat pratiquement tout le morceau de viande que François y avait mis. Jamais notre Vilaine ne s’était autant régalée, et, le repas terminé, elle exprima sa reconnaissance par d’énormes câlins, tête en avant, front contre front, queue dans la figure repoussée en riant par le garçon, pétrissages de pattes dans les cuisses de Cyprien, bref tout ce que peut donner un chat satisfait d’être enfin aidé.
Cyprien se releva, ramassa bol et cuillère et revint, suivi du chat, pour rendre la vaisselle. François remarqua alors le chat :
-« Il est avec toi le greffier ?
-Oui, c’est lui qui m’a suivi, il est mignon
-Si mes connaissances sont justes « elle » est mignonne !
-Oh je n’avais pas fait attention !
-Attends, j’ai quelque chose pour elle…. »
Et François rapporta des restes de viande et de poisson qui auraient dû aller à la poubelle mais qui étaient encore très sains et firent le régal de Vilaine.
Celle-ci ayant une belle mentalité, s’empressa de le remercier en se frottant sur ses jambes ce qui fit rire les deux jeunes hommes ! Et peut-être aussi le chat ? Qui le sait ?
-o-o-o-o-o- à suivre…
Ce sera tout pour aujourd’hui !
Week end…Samedi… Peut-être des rencontres familiales !
Allez, mes chers amis, que cette journée vous soit belle et tendre ! Et moi je vous embrasse de bon cœur !
LN