Le blog de helenedurio.over-blog.com

Bonjour!

Ce fut une bien belle journée ce lundi!!! Le soleil brillait et était même chaud !

Malgré tout la maison était très refroidie et Michel n’étant pas bien à cause de son torticolis avait branché un peu la chaudière afin de réchauffer les murs.

Mon bureau n’arrivait pas à se réchauffer, alors j’ai pris mon gilet qui trainait sur une chaise et j’ai fait des tourniquets au plafond. Je ne me suis pas transformée en hélicoptère en m’élevant dans l’air, j’ai fait voler pas mal de papiers, mais tout de suite la pièce est devenue chaude ! Non, pas d’illusion parce que j’avais fait de l’exercice, mais parce que j’ai brassé l’air chaud collé au plafond ! J’avais appris ça il y a des années dans notre maison de Seine et Marne où nous avions si froid jusqu’à l’achat d’une vieille cuisinière. L’assurance ne voulait pas que nous mettions de cheminée sur cette cabane améliorée, mais nous gelions par trop ! Du jour où ma chère cuisinière, en émail bleu, est arrivée, notre vie a changé ! Mais à cause de la disposition des pièces en enfilade il me fallait pousser la chaleur à la serviette dans les autres pièces.

De plus, à nous les petits plats au four qui attendaient le retour tardif de Michel en mitonnant doucement !

Avez-vous déjà cuisiné du Kouakinia ? J’en fais souvent et j’en suis contente. Je vous donne la recette :

Vous vous plantez devant le réfrigérateur ouvert et vous regardez dedans en demandant « kouakinia là-dedans? » et tout ce que vous trouvez, vous le combinez pour faire un repas !!! ahahah

L’idée vient d’une éphéméride !

Je m’habitue au souligné rouge de la correction automatique et je ne suis pas certaine que ce soit si bon pour moi. Parfois je ne sais plus écrire un mot. Je me demande ce que serait mon orthographe maintenant sans ce soutien de mon attention !

Il faudrait que je sache décrocher la correction pour voir…Un jour que j’aurai plus de temps ! On ne peut passer trois quarts d’heure à faire des gaufres et avoir du temps pour une dictée, et devinez ce que nous choisissons !?

Et j’ai fini mes listes qui, comme les comptes seront toujours à reprendre au fur et à mesure de leur évolution, mais au moins j’ai avancé cela. Les comptes maintenant…GRRR

Nous avons eu grand intérêt et plaisir à revoir « Forrest Gump ». Ce film est vraiment très spécial, il nous fait vivre un flash-back de l’histoire américaine et la nôtre avec originalité, fantaisie et attendrissement. Parfois aussi ironie ! Je l’avais déjà vu car je me souvenais que le héros prendrait la direction du crevettier, mais je ne devais pas être en excellente condition d’écoute ce jour-là car j’avais beaucoup perdu d’un film qui ne s’oublie pourtant pas !

Mais il nous a fait coucher sacrément tard !

Mais Michel a pris un doliprane et moi j’avais du retard de sommeil, nous avons bien dormi.

Et nous allons vaillamment faire face à ce mardi qui nous attend avec promesse de soleil !

Vous aussi ? C’est bien !

Alors bonne journée à nous tous, que nos peines soient calmes et douces et nous laissent profiter des bonnes choses de nos vies !

Avec mon affection pour tous !

LN

Bonjour à tous!!!

Bien réveillés? J’espère surtout que vous avez bien dormis. Je sais que quelques uns-unes d’entre vous passent des nuits difficiles et combien avoir une bonne nuit de repos est indispensable pour passer de bonnes journées !

L’automne est vraiment là, il fait frais, presque froid je dirais, et cela nous change du tout au tout après la chaleur de cet été ! Difficile d’avoir une bonne moyenne, agréable et reposante !

Comme nous ne pouvons rien y changer, sortons les bons gros pull-overs !!!!

Ce matin je me suis fait une farce pour me forcer à faire du sport. Ce fut inconscient…subconscient ? Allez savoir !

Mais revenant des poules j’ai lâché maladroitement le bocal dans lequel je leur avais apporté la soupe. Mais je marchais au sommet du terrain ! C’est-à-dire que j’ai vu le bocal dégringoler les pentes à 45° jusqu’en bas au bord de la mare !

Ah ben zut alors !

Il m’a fallu descendre tout ça sur mes pieds maladroits (sur les mains ce serait pire) et en plus, avec un œuf dans chaque poche et la peur de tomber dessus ! J’ai déjà une fois écrasé un œuf dans ma poche et réellement ce n’est pas agréable !

Du coup je me suis retrouvée dans un drôle de paysage avec des chardons plus hauts que moi mais tout secs maintenant. Par contre ceux qui repoussent sont magnifiques, de belles rosettes de feuilles dentelées et couvertes de piquants sur lesquels il valait mieux que je ne tombe pas assise !

J’ai fini les listes des dessins posés sur le blog.1156 nombres de 4 fois deux chiffres ! Ca soule ! Et il n’y a pas les photos et montages posés au vol !!!

Maintenant c’est fait, c’est propre et j’espère ne pas vous mettre trop de doubles ainsi.

J’ai encore des listes mais moins longues pour ce que j’envoie par mail, ensuite il faut que je plonge dans les comptes. Tout ceci fait, je pourrai peut-être penser à autre chose !

En attendant voici la suite de la petite histoire :

2e volet Le soliloque de Maudy.

-« Mais elle est encore là ? Qu’est-ce qu’elle fait ici cette gamine !

Cela fait maintenant quoi…quinze jours ? Non trois semaines, qu’elle vient chaque jour à la barrière et qu’elle regarde vers la maison… ou moi…

Bon, je ne vais pas rester sur cette chaise longue tant pis, je rentre… Je vais surveiller discrètement par la fenêtre elle va peut-être partir si elle ne voit personne…

Je ne comprends pas ce qui peut bien l’intéresser ?

Elle reste plantée là… ou bien elle apporte une poupée et elle joue un peu avec elle… L’autre jour elle l’avait installée sur la clôture comme pour me la montrer…

Peut-être voudrait-elle venir, mais là c’est NON. Je ne vais pas commencer à me créer des obligations et des problèmes. Si je la laisse entrer ensuite j’aurai les parents, puis les grands parents, puis leurs amis et….

NON. Je suis très bien toute seule, sans comptes à rendre, je fais ce qui me plait quand je veux et je me suffis très bien à moi-même.

Tiens elle est partie… C’est bien. Il reste un peu de soleil je vais retourner sur ma chaise longue et finir ce chapitre !

Ensuite, je rentrerai me faire une bonne petite soupe et bonsoir tout le monde !

Et contrairement à ce que vous dit Maudy, ce n’est pas bonsoir mais bonne journée que je vous souhaite en vous envoyant mes meilleurs sentiments pour vous accompagner au long de ce dimanche!

LN

Ce dessin est un peu triché car c'est d'après une photo que je l'ai fait, je voulais ajouter le chat dans les bras de la gamine! J'aimais son chapeau!

Bonjour chers amis!

Non, ce n’est pas que mon cerveau se serait complètement desséché cette nuit, ce n’est pas parce que j’ai rencontré dame Paresse qui m’a convaincue, et ce n’est pas parce que je manque de parole en ne vous mettant pas ma petite histoire, c’est parce que d’autres font tellement mieux que moi et que c’eut été dommage de vous en priver.

Je pense que cela va être très long, j’espère que je ne suis pas limitée de texte sur ce blog sinon je ferai en deux fois.

Mais ma documentaliste de talent et notre amie Mésange a trouvé des choses très intéressantes et, justement hier, Elodie m’a envoyée la photo d’une MGNIFIQUE araignée que je n’avais jamais vue et dont j’ai trouvé le livret de famille sur Internet.

Tout allait si bien ensemble, c’eut été dommage de séparer !

La photo est en haut, voici les explications la concernant :

(Vous pouvez zapper après son nom si cela vous suffit mais pensez à regarder en-dessous ce texte ce qui suit...)

« L'argiope frelon (Argiope bruennichi), encore appelée argiope rayée, argiope fasciée ou épeire fasciée, est une araignée aranéomorphe de la famille des Araneidae. Elle a initialement été décrite comme une espèce du genre Araneus

L'argiope frelon est une araignée orbitèle. Pour chasser, elle bâtit une toile géométrique (orbiculaire, forme proche du cercle) dans la végétation, à moins d'un mètre de hauteur. Elle comporte de 19 à 41 rayons (généralement 30) Cela lui prend environ une heure à l'aube ou au crépuscule. Son camouflage jaune et noir repousse les oiseaux qui la prennent pour une guêpe.

De nombreuses théories ont été avancées pour expliquer la présence du stabilimentum : c'est un motif blanc en zig-zag qui se trouve sur la toile. L'une d'elles affirme qu'il contribue à attirer les proies du fait de sa grande brillance dans le spectre des ultra-violets que les insectes perçoivent. Une autre zone de soie plus dense se trouve au centre de la toile.

L'araignée immobilise sa proie grâce à un venin paralysant. Il est inoculé par l'intermédiaire des crochets portés par les chélicères au sommet desquels s'ouvre un minuscule orifice. Comme chez les autres araignées, l'Argiope dilue les chairs de sa proie, grâce à son venin et surtout les sucs digestifs que l'araignée régurgite.

Elle se nourrit principalement de sauterelles, de mouches et d'abeilles, et peut dévorer jusqu'à 4 sauterelles par jour.

Originaire du Bassin méditerranéen, l'argiope frelon se rencontre désormais dans toute l'Europe centrale et septentrionale.

Elle fait sa toile dans les hautes herbes et les champs en friche ou dans les vallées chaudes et humides. On la rencontre également à la limite des bois.

L'argiope présente un dimorphisme sexuel. Le mâle est plus petit et plus terne que la femelle.

Le mâle, au terme de l'accouplement, abandonne son appareil copulateur ce qui diminue les chances d'un rival de féconder la même femelle[1]. Après l'accouplement, la femelle pond rapidement 200 à 300 œufs dans un cocon de couleur brune suspendu dans les graminées peu au dessus du sol. Les œufs hivernent à l'abri du gel. »

D’Internet.

Et maintenant deux histoires trouvées par Mésange concernant les araignées :

» On vous a conté que l’araignée de Pellisson fut mélomane ? Ce n’est pas moi qui m’en ébahirai. Mais je verserai ma mince contribution au trésor des connaissances humaines, en mentionnant l’araignée que ma mère avait – comme disait papa – dans son plafond, cette même année qui fêta mon seixième printemps.Une belle araignée des jardins, ma foi, le ventre en gousse d’ail, barré d’une croix historiée. Elle dormait ou chassait, le jour, sur sa toile au plafond de la chambre à coucher. La nuit, vers trois heures, au moment où l’insomnie quotidienne rallumait la lampe, rouvrait le livre de chevet de ma mère, la grosse araignée s’éveillait aussi, prenait ses mesures d’arpenteur et quittait le plafond au bout d’un fil, droit au-dessus de la veilleuse à huile où tiédissait, toute la nuit, un bol de chocolat. Elle descendait, lente, balancée mollement comme une grosse perle, empoignait de ses huit pattes le bord de la tasse, se penchait tête première, et buvait jusqu’à satiété. Puis, elle remontait, lourde de chocolat crémeux, avec les haltes, les méditations qu’impose un ventre trop chargé, et reprenait sa place au centre de son gréement de soie.

» L'araignée de Pélisson

Pélisson, secrétaire du roi Louis XIV, était grand ami du surintendant Fouquet. Attaché à la personne de ce ministre, il avait été son collaborateur dévoué et s'était acquis la réputation d'un homme de bien.
Fouquet, ayant déplu au roi par ses immenses richesses, fut accusé d'avoir volé l'Etat, et condamné, presque sans jugement, à un emprisonnement perpétuel.
Pélisson, loin de suivre l'exemple de ceux que le malheur éloigne, n'abandonna pas dans son désastre celui qui avait fait sa fortune. Il osa tenter de le justifier.
Louis XIV, croyant voir dans cette généreuse conduite un blâme à son autorité absolue, en fut irrité. Il fit enfermer Pélisson à la Bastille. L'ami fidèle du surintendant fut soumis à un régime sévère : il n'avait à sa disposition, ni encre, ni papier, ni livres. Pourtant on lui donna un compagnon, un paysan basque, qui passait son temps à jouer de la musette.
Le pauvre prisonnier ne savait comment employer ses longues journées ! Dévoré d'ennui, il inspectait avec découragement les murs de son cachot. Tout à coup, il aperçut dans un coin une araignée qui tendait ses fils. Il se mit à l'examiner. Infatigable, elle allait et venait, s'accrochant ici, puis là, tissant sa toile avec adresse.
Pélisson avait suivi avec intérêt tous ces mouvements. Il se promit de respecter un travail qui avait demandé tant de peine et laissa vivre la bestiole.
Soudain, le basque s'étant mis à jouer de la musette, la tisseuse, suspendue à son léger fil, descendit jusqu'à la hauteur de l'épaule du joueur.
Tant que l'instrument se fit entendre, elle demeura immobile. Dès qu'il cessa, elle remonta chez elle. Une heure après, le même manège recommença.
"Tiens, tiens ! se dit Pélisson, mon araignée aimerait-elle la musique ?"
Il en acquit en effet bientôt la certitude.
Ce fut un motif de plus pour rendre la petite bête sympathique au détenu.
"Si elle est sensible à la musique, se dit-il, elle doit être susceptible d'une certaine éducation."
Il songea à l'apprivoiser et s'appliqua à lui présenter des mouches et autres insectes qu'il pouvait attraper. Ce fut une oeuvre de patience qui demanda plusieurs mois. A la fin, l'araignée s'accoutuma si bien qu'elle sut prendre la musette pour un signal. Aux premiers sons, elle arrivait chercher sa proie jusque sur les genoux de son maître.
Le captif avait (lis)* ainsi un intérêt dans sa triste vie.
Hélas ! on devait lui ravir encore.
Un jour, le gouverneur de la Bastille étant venu visiter Pélisson, lui demanda à quoi il occupait ses loisirs. Le prisonnier, dans sa candeur, lui présenta sa petite amie, et le méchant homme eut la cruauté d'écraser l'insecte en ricanant.
"Ah ! Monsieur s'écria Pélisson navré, pourquoi ne m'avez-vous pas plutôt cassé le bras !"
Hâtons-nous de dire que ce gouverneur fut bientôt puni de sa mauvaise action par la disgrâce royale. Mais cela ne pouvait consoler la grande âme de Pélisson de la perte de sa petite compagne d'infortune.

(« Lis » est dans le texte te je ne sais comment le corriger. NLN)

Textes trouvés sur Internet par Mésange que je remercie infiniment.

Je n’ajoute rien de plus de peur de déborder la bonne volonté de Over-blog, je lui demande juste d’accepter de vous transmettre encore toute mon affection et mes souhaits de bonne journée pour tous !

LN

Bonjour les amis!!!

J’espère que vous êtes bien réveillés et plein d’ardeur!

Je n’ai rien préparé hier, noyée dans les listes qu’il me faut ABSOLUMENT reprendre, sinon je vais vous poser des tas de doubles en images, et même avec mes soins je pense que vous en avez déjà eus !

Mais j’ai trouvé sur EXCEL un endroit pour déjà éliminer les doubles de la liste ! GENIAL !!!!

L’ennui c’est que j’apprends tout cela sur le tas et au fur et à mesure.

Ainsi au début de mes dessins je n’avais pas mis de numéros, bien sûr, surtout ceux faits mains (bien que ceux informatiques ne soient pas faits avec mes pieds !) dessins que j’ai scannés plus tard !

Et quand j’ai mis des numéros au début je ne savais pas que pour les classer il fallait mettre année, mois, jour d’abord, à l’américaine, contrairement à notre habitude de mettre le jour en premier. Et je n’ai jamais eu le temps de tout reprendre bien entendu.

De plus j’en ai perdu beaucoup pendant presque deux ans avec le MAC parce qu’il m’avait été conseillé d’user de diskettes pour enregistrer, mais ensuite elles n’étaient plus lisibles sur PC, sans compter qu’on mettait bien peu de choses dessus, les dessins étant gourmands d’espace !

Et puis je pense en avoir perdus d’autres au fur et à mesure…Non enregistrés sur la clé par exemple…
Mais rassurez-vous ma production est telle qu’il en reste encore pour un moment.
Seulement…
Il faut que je refasse ces listes, j’ai fait 6 pages hier mais il en reste 28 à faire rien que sur les dessins déjà posés sur le blog et sans compter les photos je ne n’avais pas numérotées !

Oui, je sais n’ayez crainte, ça sent le brûlé mais c’est sous contrôle maintenant.

Le soir je mets mon pain à lever dans son moule installé dans le mini four. Le matin Michel se levant le premier met le four en marche, ainsi le pain a-t-il le temps de refroidir avant notre petit déjeuner qui se fait fort tard. Ah mais c’est organisé tout ça !!! Enfin ça le voudrait…

Car hier j’ai étouffé des poivrons . Je sais, c’est cruel, et ne me dites pas que les poivrons souffrent je ne pourrais plus rien boulotter !

J’adore les poivrons de cette façon, peau grillée au grill puis vous enveloppez les poivrons dans un torchon puis dans un sac en plastique et vous attendez un moment. Les poivrons finissent de cuire ainsi. Après il n’y a plus qu’à les éplucher de cette fine peau qui se détache alors facilement …mais non sans vous brûler les doigts, attention. On ouvre, on retire les graines et le trognon et après on en fait ce qu’on veut, froid tiède ou chaud c’est toujours délicieux ! Enfin c’est notre opinion !

Donc, fines mouches, vous avez déjà deviné, j’avais laissé le four sur grill et Michel ne s’est pas méfié en mettant le pain à cuire, vu que tous les matins c’est pareil d’habitude.

Mais en jouant par étages ensuite il semble que le pain soit sauvé ! Juste le dessus a carbonisé et c’est pourquoi vous vous êtes alarmés en sentant le brûlé chez votre amie l’étourdie !

Je vais peut-être essayer de faire les choses différemment, écrire le blog le soir pour distribuer le temps différemment… J’y pense… On verra si c’est mieux. Pour vous cela ne change rien, vous l’aurez le matin.

Le dessin du jour m’est cher….

C’est mon premier tableau de la maison. Vous avez la vue de derrière, la grange.

La perspective est un peu déformée, l’espace autour est bien plus fermé que cela, le chemin très étroit entre les sapins, la grange et le tas de bois ne laisse passer qu’une voiture tout juste et en péril au-dessus du vide à droite. Mais j’ai peint ce contre plaqué une fois rentrés en Seine et Marne avec une photo et mon souvenir….

Mais j’en aime la couleur et la paix et…le souvenir car je l’avais sans cesse sous les yeux en attendant de pouvoir enfin venir vivre en ce paradis !

Ah la Corrèze !!!! (Dans mon élan j’avais mis trois R, mais il est vrai que cet endroit ne manque pas d’…air !)

Sur ce clin d’œil, chers tous, je vous laisse à vos travaux. Parents j’espère que la rentrée des enfants s’est bien passée et que vos bambins sont contents de retrouver l’école et le rythme scolaire avec leurs cahiers qui sentent bon le neuf !

Et grands- parents le calme retombe sur vos foyers en attendant le prochain coup de téléphone, la prochaine visite mais je sais que beaucoup d’entre vous travaillent encore courageusement à préparer conserves et confitures pour « donner aux enfants, les pauvres , ils travaillent, ils n’ont pas le temps ! »

Grands cœurs que vous êtes ! Je vous aime !

Bonne journée à tous et mes amitiés toujours!

LN

Bonjour chers amis!

Amir a fait bouger les consciences et j’ai eu quelques courriers à ce propos, je vous en remercie. Evidemment nous sommes tous d’accord au sujet de ce que cet homme fait…

Mésange (MERCI) m’a trouvé des pages sur Internet en particulier d’un livre écrit sur ce sujet :

De : Corine Sombrun, Almir Narayamoga Surui

SAUVER LA PLANETE

Chez Albin Michel

Vous pouvez en lire le début sur Internet.

Et puis notre amie Martine Goblet a retrouvé un texte écrit à ce sujet, je vous le soumets, c’est toujours si joli ce qui germe dans l’esprit de notre amie.

PLUS LOIN QUE L’AMOUR

Accrochée à la sève de vie sur les étoiles de mon cœur

Pour un arc en ciel de tendresse sur l’humanité en péril

Je chante mes arbres aux couleurs étranges

Illuminées des songes du passé aux refrains du futur

Sur les branches fortes de leur faiblesse je pose les émotions

Et leurs vibrations cheminent en cris muets et cinglants

j'apprends le silence peuplé des mystères de vérité

Aux frontières de l’invisible je me suis invitée

Nature, majestueuse contemplatrice de nos erreurs

J’en appelle à ton regard tendresse pour nous sourire encore

Et quand viendra le temps comme les feuilles d’automne

Je te confierai mon message d’amour

« Arbres mes frères

Arbres mes compagnons immobiles

Arbres aux frémissements paisibles

Je vous aime »

Martine GOBLET.

la petite martine parfois surnommée " la dame de fer " !

(Autodérision souriante)

D’autre part Mireille m’apprend quelque chose de son côté sur un tout autre sujet.

Saviez-vous que l’escargot et le lapin avaient un point commun ?

« Animaux rattachés à la lune :

L’escargot : signe de mort et de renaissance

Le lapin : symbole de renouveau et de résurrection » fétiche d’Aphrodite

« …

L’escargot, le lapin, par leur fertilité

Demeurent en cela signes de renaissance.

Lunaires animaux ! Et, tout-à-coup, je pense

Qu’ils ont été choisis pour cette qualité. »

Mireille Turello-Vilbonnet (extrait du « Le lapin et l’escargot »)

Le temps est lourd et m’a rendue à son image mais j’ai voulu reprendre les listes des dessins posés sur le blog pour me mettre à jour car je suis bien incapable de savoir ce que j’ai déjà mis ou pas !!!

Et bien entendu quelque chose s’est passé, cela ne voulait pas se mettre en ordre sur WORD, j’ai fini avec des manques et des doubles ! Il me faut TOUT recommencer puisque j’avais déjà tout mélangé avec mes listes précédentes.

Je sais ! Faire et défaire c’est travailler et se tromper c’est apprendre, mais….GRRR !!! Sans doute n’avais-je rien à faire !!!! L’ennui est mère de tous les vices ! Comme je dois être pure ! ahahah

Bon ben ce n’est pas tout ça, il ne reste qu’à s’y remettre !!! Eh bien on y va !!!

Il nous est promis des orages pour l’après midi mais pour l’instant c’est plutôt ecourageant.

Bonne journée à chacun de vous et soyez moins écervelés que moi cela vous gagnera du temps !!!

Avec mes amitiés comme toujours !

LN